Ce module est une ressource pour les enseignants  

 

Questions de révision et d’évaluation

 

a)  Pourquoi est-il important de mesurer la criminalité organisée ?

b)  Quelles sont les caractéristiques de la criminalité organisée qui la rendent plus difficile à mesurer que d’autres formes de criminalité ? Quels problèmes rencontre-t-on habituellement lorsque l’on compare les taux de criminalité nationaux à l’échelle internationale ?

c)  Quand on veut mesurer la criminalité organisée, quels éléments spécifiques sont pris en compte (par exemple, délinquants, actes délictueux, volumes de produits/services illicites, profits illicites ou dommages causés) ? Quelles sont les caractéristiques de la criminalité organisée qui la rendent plus difficile à mesurer que les infractions de rue ?

d)  Pourquoi les victimes ou les témoins de la criminalité organisée choisissent-ils souvent de ne pas signaler une victimisation ou une activité criminelle en cours ?

e)  Pourquoi est-il plus facile de mesurer l’ampleur de la production et du trafic de certains types de drogue que d’autres types de drogues ?

f)  Comment l’évaluation des risques contribue-t-elle à l’allocation des ressources pour prévenir la criminalité organisée et y répondre ? Pourquoi serait-il insuffisant de se baser uniquement sur des statistiques policières (arrestations) pour mesurer la criminalité organisée ? Quelles alternatives aux statistiques policières existent-il pour la mesure de la criminalité organisée ?

g)  Les enquêtes sur la victimisation ont été utilisées avec un certain succès pour mesurer la criminalité organisée parce qu’elles représentent des groupes fortement victimisés (victimes d’extorsion et/ou de corruption). Quelles sont les limites de la mesure de la criminalité organisée faite sur la base de données d'enquêtes/de sondages sur la victimisation ?

h)  Quels problèmes faut-il garder à l’esprit lorsque l’on mesure la criminalité organisée en se fondant sur la perception de l’activité relevant de la criminalité organisée ?

i)   Quelles sont les différences entre la mesure de la criminalité organisée au niveau national et la mesure des activités relevant de la criminalité transnationale ?

j)  Quels sont les pièges résidant dans le fait d’utiliser des stratégies fructueuses d’intervention (arrestations) et de poursuites judiciaires (condamnations) visant les groupes criminels organisés comme indicateur d’une baisse de l’activité relevant de la criminalité organisée ?

k)  Comment les saisies d’avoirs illicites peuvent-elles être utilisées comme indicateurs pour mesurer les marchés illicites ?

 

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